subject Truffes Surgelées : Comment calculer la rentabilité d'un client ?
writer Stephany Master…
email stephanymasters@gmail.com
date 24-10-06 04:11
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La Truffe noire de Bagnoli d'été ou Tuber Aestivum a une saveur douce et beaucoup plus subtile que les autres truffes surgelées. Une pousse plus vigoureuse s’ensuit bientôt ; et plusieurs récoltes traitées de cette manière n’ont présenté que peu de diminution dans le produit. Elle est héréditaire, et ce n’est que par une bonne culture que l’influence en est paralysée à la 4e ou 5e génération. Cette méthode a donné quelquefois de bons résultats dans les années de disette, mais toutes les fois qu’on n’y est pas forcé par la nécessité, on devra recourir à une méthode plus assurée de multiplication. Les tubercules présentent à l’intérieur des rognons noirs qui ressemblent à des ulcères, sont plus durs et plus fibreux que le reste du parenchyme. VI. Par la plantation de tubercules entiers. À volume égal, on remarque peu de différence entre des tubercules entiers et des fragmens de gros tubercules, si on les plante dans un terrain sec. Elle est singulière, et, malgré la grande perte de terrain qu’elle parait occasioner, elle donne autant de produits et souvent bien davantage que les autres méthodes : elle est la même dans la culture en grand et dans la culture en petit. Ton roman est trop sérieux.


On ne restait pas cinq minutes avec M. Chèbe sans qu’il vous dit d’un ton confidentiel : « Vous connaissez l’accident arrivé au duc d’Orléans ? La seconde est un sarclage et butage en même temps, et c’est encore la terre du fossé qui sert à couvrir les jeunes plants d’une couche de terre épaisse d’un pouce et demi à deux pouces. Le petit nombre de tubercules que produisent ces plantes, mortes avant le temps, ont une saveur désagréable, parce qu’ils ne sont point mûrs, et sont impropres à l’alimentation de l’homme, parce qu’après avoir été mangés, ils laissent dans la gorge une substance acre qui en lèse les parois, propriété commune à beaucoup de végétaux récoltés avant maturité. Cette méthode peut amuser l’amateur et l’horticulteur ; mais, quoi qu’on en ait dit dans ces derniers temps, elle ne mérite pas d’être prise sérieusement en considération par le cultivateur. » Malgré cette perte énorme de terrain, les récoltes que l’on a par cette culture sont en général plus abondantes que celles obtenues de toute autre manière ; et plusieurs cultivateurs irlandais instruits, qui ont tenté la culture en rayons, sont revenus à cette culture, qu’on appelle par lits ou par couches.


Plusieurs faits prouvent que certaines espèces de pommes-de-terre sont plus exposées que d’autres à la frisolée ; cette maladie fait moins de ravages sur les montagnes que dans les plaines et dans les bas-fonds. On n’en connaît que deux principales : la rouille et la frisolée. Le fond des sillons où il ne vient jamais une grande quantité de plantes, sert à fournir un passage aux ouvriers qui sarclent les blés à deux époques différentes de leur croissance, avec un petit sarcloir à main. Oui, par moments, tout à coup, je suis inquiet, et je n’ose plus me déboutonner : ils écoutent avec une attention si intense, avec la volonté si évidente de retenir, d’apprendre par cœur ce qu’ils entendent, que je suis interloqué… Aussi devrions-nous en toute honnêteté ne pas permettre que les autres s’attachent à nous, pas plus que nous ne devrions nous attacher aux autres ; mais supprimer la vie vaudrait encore bien mieux ! Dresser, après avoir enlevé le fil de la couture et couvrir avec la sauce Madère aux truffes. Remplir le centre d’un émincé de truffes noire lisse lié à la sauce Madère. D’un autre côté, il permet de multiplier au loin cette plante précieuse : c’est ainsi qu’il a été fait, dans ce but, des envois de graines dans la Grèce, il y a plusieurs années.


Cette méthode entraîne avec elle plusieurs inconvéniens qui peuvent être écartés lorsqu’on opère en petit, mais que doit forcément subir celui qui plante de grandes étendues de terrain. Trois considérations doivent dominer la pensée de celui qui cultive les pommes-de-terre : détruire les mauvaises herbes, ameublir la terre, multiplier les tubercules. Des faits bien observés ont détruit l’opinion émise par plusieurs cultivateurs, que les tubercules récoltés avant maturité ont une influence malfaisante sur la santé des consommateurs. On défonce grossièrement le sol avec une charrue, une pioche, une bêche, suivant les moyens du cultivateur, ensuite on le divise par planches de 5 à 6 pieds de largeur, entre lesquelles on laisse un espace de 2 pieds à 2 pi. Alors est ouverte, pour le cultivateur, la série des travaux dont il doit être prodigue. Il est certain qu’un œil portant une bonne épaisseur de pulpe, placé dans un terrain riche, humide et très-bien préparé, donne des produits satisfaisans. Les tubercules sont aussi sujets à quelques maladies, notamment à une espèce d’ulcère qui attaque leur surface, et qui n’est pas encore bien connu ; on l’attribue aux principes ammoniacaux ou alcalins des fumiers, et on ne peut y remédier qu’en changeant la semence ou le terrain.

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